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Meurs et deviens
Toutes les initiations sont une mort d’avant la mort biologique.
La mort symbolique peut être qualifiée d’« éternelle » parce qu’elle donne accès à la vie de l’Esprit, qui ne peut être qu’éternelle.
Meurt-on et renaît-on « autrement » au Rite Écossais Ancien et Accepté ?
Oui, notamment avec les trois passages au degré d’Apprenti, de Compagnon et de Maître.
Mais où se trouve le réel par excellence, le sacré, le Centre de la vie, et la source de l’immortalité ?
Dans la solidarité intime entre la vie universelle et le salut de l’homme ; l’homme ne peut réellement vivre sans un espace sacré, au « Centre ».
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SOMMAIRE :Edito : Alain Pozarnik, page 2Introduction : Dimitri Davidenko, page 5Introduction à la symbolique de la mort, Jean-Michel Gineste, page 7La Mort éternelle, Jean-Emile Bianchi page 21Le Franc-maçon et la mort, Jean-François Pluviaud, page 39La mort de la peur selon Paul Diel, Dimitri Davidenko, page 51Résurrection et renaissance : invitation à vivre où à revivre ?, Christian Roblin, page 63La renaissance initiatique et l’agir en loge et dans la cité, Jean-Louis Respaud, page 71Deuil et espérance, Bruno Phelebon-Griolet, page 83Mort et renaissance au Rite Ecossais Ancien et Accepté, Jacques Van Assche, page 95La mort de la mort et la Vie de l’esprit, Michel Mazzola, page 107Anxieuse existence ou précieuse impermanence ?, Francis Ducluzeau, page 125
Livres, page 139